de bonne décision
Concernant le choix de la couleur, je ne saurais trop vous conseiller de vous adresser à votre coiffeur. Vous portez perruque, bénissez l'espace entre terre et mer. A la lisière d'une mésestime, je ne puis me résoudre à vous promettre le geste que vous attendiez tant. Ce plat de la main posé sur le front, vous savez, qui apaise après les douches salées. Vous en avez pris une bonne. Ah quelle effervescence! Avez-vous frissonné?
Le lisier que vos politiciens étalent ne saurait exactement illustrer un propos volontiers hostile. Plaisamment hostile. Hostile.
Tel parcours dont le père était employé d'une coopérative agricole ressert sa chemise. Son frère chômeur bientôt à la retraite vit toujours chez eux, sans qu'un mariage assombrisse un sans-faute dans la vie. Il est là, lui, dont les chemises diffusent lavande chimique. Réfugié familial tandis que la sœur a épousé son raciste.
Plus ou moins tous votèrent. N'y allant pas, ils participèrent dont moi qui m'endormit aux résultats. Nul ne fut surpris hormis les ânes. Rien ne souche hormis les ânes, le rendu le même. Le parcmètre relié à l'oreille alimente une suspicion.
Se tenir à l'attendre, tel qu'elle le demandait. Ne pas serrer le téléphone dont les ondes infertilisent les colorants. Sa décision est prise.